jeudi 24 avril 2014

Australian way of life

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Piouff ! 2 semaines envolées en un claquement de doigt ! Notre premier ‘western country’ de notre échappée. Soyons honnête : on apprécie le confort et la facilité de déplacement même si les distances sont juste énormes. Seul ombre au tableau : mais pourquoi tous les prix ont une fâcheuse tendance à être multiplié par 10 par rapport à l’Asie? Résultat : nous avons beaucoup limité nos excursions.
Vous souhaitez vous aussi y faire un petit tour ? 1000 fois oui, allez-y mais notre ressenti est que c’est plus un pays où il y fait bon vivre plus que à visiter sur une courte période. Privilégiez un séjour bien long !
Récit de ces 2 semaines sous le signe de la ‘cool attitude’.



Sydney : 1ère immersion à l’Aussie life style. Pas de problème, on adhère !
Pour bien démarrer notre immersion, pour être sûr que nous allons accrocher à 2000%, on démarre par Bondi Beach : chouette quartier résidentielle où les travailleurs de la city démarrent leur journée par surfer, courir ou nager. Alors ? Elle n’est pas belle la vie ?
Sur place nous retrouvons Ninon, la femme d’Anthony (un ancien collègue de Laurent), qui nous accueille pour quelques jours bien qu’Anthony ait été envoyé en déplacement de dernière minute à Paris (grrrrrr….). Mille mercis Ninon pour nous avoir si gentiment accueillis dans votre chouette maison et de t’être rendue disponible bien que tu sois bien occupée entre ton adorable petite fille et ta crèche à domicile

Ce qu’on a aimé pendant ces premières journées australiennes :
- On a (sans surprise) été séduit par l’esprit ‘outdoor life style’ qui règne à Sydney et plus particulièrement à Bondi beach : on y croise les (beaux) surfeurs fraîchement sortis de l’eau avant d’attaquer leur journée de travail, il y a des joggeurs fluo partout, les jeunes mamans y vont même poussette en sus, pas mal de monde se déplace en skate ou longboard, la si fameuse piscine construite sur les rochers en harmonie avec la mer nous tend les bras, tout le monde s’affaire thermos de café en main… y’a pas à dire il a l’air de vraiment faire bon vivre ici.
- En plus de ça, on est bien reçu par Ninon qui nous fait profiter de ses bons petits plats ‘french style’ qu’elle mijote pour les bambins de sa crèche (dont un délicieux gâteau au chocolat). Qu’il est bon d’avoir des petits moments comme ceux-ci quand on vagabonde depuis plus de 5 mois.
- Nous sommes allés faire un tour dans le grand aquarium de Sydney à la découverte d’incroyables espèces marines locales. Petit coup de cœur pour les rigolos plus petits pingouins de la cote du sud (et les plus bruyants), les majestueuses raies (dont une raie manta – magique !) et les terrifiants requins de récifs ou scie. C’est magique de pouvoir observer ces animaux depuis les tunnels sous-marins. Une vue imprenable surtout quand ils viennent se coller aux vitres – vus d’en-dessous leurs bronches leur donnent des allures de fantômes moqueurs. Il nous manque plus que le grand blanc, les baleines, les tortues géantes et les dogons.
- Sydney nous a séduits par son harmonieux équilibre entre le vert et son architecture moderne. Ce qu’elle nous inspire : un parfait équilibre entre une vie active bien remplie et un life style qui nous parle pas mal…Bref, soyons francs : on s’y voit bien ! Sydney nous semble plus une ville à vivre qu’à visiter.
Le hic des premiers jours : Ooooouuuutch ! ça va faire mal au portefeuille. Bon on le savait, on a prévu le coup, mais quand même, après 5 mois de négociation pour quelques dollars on entre dans une nouvelle dimension (et ça va pas aller en s’améliorant sur les prochains mois).

Cairns et sa soi-disant barrière de corail: 3 jours de on-fait-rien-car-ita-s’énerve
- Qui est Ita ? Ita c’est celui qui aura rythmé notre première semaine au pays des Kangourous. Un cyclone qui aura fait pas mal de dégâts du côté des îles Salomon, mais aussi sur la côte est. Résultat, alerte maximale: Ville déserte, boutiques barricadées prêtes à affronter les eaux torrentielles. Finalement Ita nous a épargné et s’est contenté de déverser des litres d’eau et souffler un peu trop fort pendant 2 jours. Rien de plus que les tempêtes que nous connaissons en France.
- Petite rétrospective sur nos desiderata du départ : nous avions choisi le Queensland pour aller voir l’un des plus beaux endroits au monde, la barrière de corail. 2 hics ont freiné nos ambitions : 1-Le cyclone Ita nous a scotché pendant 3 jours dans notre guest house + 2-180 dollars par tête pour une journée (dont une plongée) = bah, on a décidé de ne pas le faire. Disons qu’on garde nos ‘cartouches’ pour la Polynésie…
- Cairns se résume en 3 jours cloués dans notre Guest house (Flying Monkey) : Ambiance pour le coup vraiment backpackers. Une sorte de méga-grosse collocation. L’impression de retourner 10 ans en arrière dans les années étudiantes. On a même fait un tour dans un bar-boîte à enchainer les vodkas-citrons à 2 dols. Après tout, demain on ne fait rien ! Le plus drôle c’est quand les jeunes vous posent la question : « What are you studying ? » (euh…. Bah ça fait plus de 8 ans qu’on bosse mon gars…) ;-) disons qu’on doit faire plus jeunes que notre âge !
- On a été impressionné par le niveau d’anglais de tous ces jeunes backpackers croisés dans notre guest house. Principalement des jeunes d’Europe du nord : Anglais parfait (on pensait au départ que c’était des locaux), et tous au moins 3 langues parfaitement courantes à leur actif… bref, nous ça nous fait clairement rêver et on voit un sacré gap…



Cairns-Brisbane, 6 jours dans notre maison-‘tetris’-roulante
Ita s’en va et nous permet donc de reprendre notre route. Cette fois ce sera en camper-van 4x4. Nous avons opté pour le système de ‘relocation’ : on paie juste l’assurance (même pas l’essence) pour ramener le camper-van sur son prochain lieu de location. Une solution économique mais contraignante sur le temps : nous avons 6 jours pour visiter et parcourir 2000km. Suffisant sur le papier, mais trop court en réalité.
Une fois la paperasserie signée, on grimpe dans notre maison (qui sent d’ailleurs fort le moisi) et c’est parti ! En fait non… pas si évident que ça… D’abord il faut appréhender le gabarit. Ok, ce n’est pas très gros, c’est comme une camionnette de déménagement. Ensuite il faut que le conducteur monte du bon côté…bah c’est conduite à gauche ici ! On se répète au fond de soi : «rester sur la voie de gauche, rester sur la voie de gauche…». Allez, c’est parti. On passe la première («non ça c’est la poignée de la portière»), on se prépare à tourner à droite, («rester sur la voix de gauche…»), enclenchement du clignotant («zut, c’est l’essuie-glace»). Bon en gros ce n’est pas compliqué, il faut juste (presque) tout faire à l’envers (les pédales restent les mêmes – ouf !).
Après les premiers kilomètres parcourus, c’est bon on gère la bête ! On prend confiance, voir même trop ce qui fait que nous ignorons les panneaux indiquant que des routes fermées (dont celles que nous devons emprunter). Oui, Ita n’est plus là mais il a laissé des traces. Certaines routes côtières sont inondées et impraticables. Nous avions imaginé ce scenario, mais en zyeutant l’itinéraire alternatif de 1000km plus long nous avons conclu de façon hâtive : « ce n’est pas possible, ils ne peuvent pas laisser cette route fermée…c’est trop important comme axe ». On a donc volontairement ignoré les alertes et foncé en direction des tronçons fermés. « Let’s see ! »
Après une première journée de route nous nous sommes finalement retrouvés bloqués (oh… comme c’est surprenant ! J). De là 2 options se posent à nous: 1. Attendre 12hrs de plus sur une aire en bordure de mer où rodent des alligators en espérant que le niveau de la rivière baisse; 2. Arrêter d’y aller au petit bonheur-la-chance et assumer qu’il faille faire un détour de 1000km (20hr) sur les routes de campagnes jonchées de gros animaux (et donc vivement NON-recommandées par les locaux). Huuummmm… le choix n’est pas évident…surtout qu’on a une contrainte temps assez forte…Après avoir pris la température auprès des locaux, on part pour l’option 1 (qui n’est peut-être qu’une procrastination de l’étape 2 …). Alors, le choix fut-il judicieux ? Et bien oui ! Nous avons pu reprendre la route dès le lendemain matin. Vraiment, la chance nous sourit !

Nos souvenirs ‘on the road’ :
- Des kilomètres de paysages comme on l’imaginait : Des routes petites de bonne qualité et propres, bordées d’immenses étendues de vert (le plus souvent des km de champs de canne à sucre – 8e producteur mondial – et des bananeraies), en arrière-plan : des montagnes qui se dessinent et des nuages qui habillent le ciel bleu, des panneaux en losange jaune avec des animaux dessus. Un paysage cliché qui va nous accompagner pendant les 6 prochains jours.
- Enfin ! On a vu des kangourous et des wallabys !!! Nous étions bien heureux d’enfin approcher cet animal qui fait partie de nos chimères de gamins. Coup de cœur pour les levers du soleil sur la plage où sur les prairies en compagnie de ses gros herbivores montés sur ressort. Si nous devions les décrire nous dirions qu’ils ont l’allure d’un chinchilla géant, le museau d’un chien-loup, la taille d’un humain adulte (ceux croisés allez de 1m à 1m6). Aussi grand qu’Estelle au final. Ça impressionne.
‘On the road’ le bas-côté est souvent jonché de ces petits ‘skippy’ écrasés. On imagine bien le nom de la rubrique des faits divers dans les journaux locaux : ‘Roo écrasés’ (petit rappel : Roo = diminutif de kangoroo).
- Sniff…malgré tous les panneaux croisés sur notre route pour avertir de leur présence on n’aura pas vu les gros casoars (ce gros oiseau tout droit sorti de ‘Jurassic Park’ réputé dangereux si l’on foule son territoire), les tendres ‘super-cute’ koalas, les tortues géantes ou les dangereux crocodiles rodant dans les marécages (dont les routes sont bordées). Pour rectifier le tir nous sommes allez à l’Australia Zoo. Là, à portée de main (ou de vu), tous ces animaux insolites pour notre plus grand bonheur. Nous avons été épatés par ce magnifique zoo dont le traditionnel show à l’américaine n’est pas en reste pour présenter ces incroyables créatures et leurs habiletés. Une expérience incroyable ! Et pour couronner le tout, Estelle a même eu le droit à ses quelques secondes de bonheur en portant un koala dans ses bras. Quelle émotion !
- Et la vie dans notre minimaison roulante alors? On a accroché au ‘camper van way of life’. C’est génial de trimbaler sa petite maison de 4m2 partout où l’on va : Envie d’un café ? Facile. On s’arrête où ça nous chante, déplie notre cuisinière extérieure, sortons des recoins tasse-isotherme, café, lait et hop ! On reprend la route. Envie de s’offrir une nuit bercés par les vagues et réveillés par le lever du soleil (for free)? Pas de pb, petite analyse du secteur, repérage de jour et hop ! on y parque notre villégiature ! Tranquillité assurée (du moment que votre camper van ne se trouve pas sur la route d’une voiture de patrouille… auquel cas l’amende peut être salée…)
Notre maison ‘Tetris’ : Envie de lire au salon ? On pousse le toit et hop la maison se déploie offrant une hauteur de plafond de 2m. Fatigués ? On tire les planches recouvrant le coin salon et une partie de la cuisinière et hop ! Un grand lit 2 places. Côté agréable : notre maison Tetris est semi-rigide : une partie en fibre de verre et la partie rétractable en toile étanche : excellent compromis entre la sécurité d’un bâtiment en dur et le plaisir d’être mieux connecté avec la nature environnante. De l’intérieur on a finalement l’impression d’être en bateau, avec le tangage en moins.
Seule ombre au tableau : Notre camper-van qui avait déjà pas mal vécu avait de bien désagréables odeurs et problèmes de moisissure. Le pire : le matelas sur lequel on dormait. Ce sera un peu la bataille obsessionnelle d’Estelle de lutter contre ces désagréments. Tous les matins nous avions les jambes et pieds couverts de piqures : micro-moustiques ? puces ? puces de liiiiittts ???? Non heureusement, juste ces satanés sand-flyes (moucherons de plages) qui sévissent au coucher du soleil. Ouff, on préfère ça.
- Nous sommes nous baignés ? Et bien au final pas tant que ça. Lors de toutes nos haltes la baignade était interdite à cause des crocodiles ou des méduses (à ce stade, pas d’alerte requin !). Il aura fallu attendre le dernier jour pour profiter des belles eaux (du côté de Noosa, vivement recommandé).
- Et les australiens alors ? Nous les avons trouvés très accueillants, avenants et altruistes. Ils vous saluent avec le traditionnel ‘How are you ?’ auquel ils attendent vraiment la réponse (ils vous reposent la question si vous ne répondez pas), tout est ‘awesome’, tout est prétexte au surnom (Roo pour Kangoroo, Rego pour Registration car, mossies pour mosquitos...), et si vous leur rendez un service ‘You’re a diamond’ (rien que ça) ;-)
A l’accent près, aux bêtes bien différentes et au climat tropical nous avons retrouvé ‘ the american way of life’ auquel nous avions tant accroché lors de notre échappée californienne il y a 2 ans. Avec peut-être encore une plus grande expertise dans l’art du camping. Bien loin de la ‘bof attitude’ auquel il est assimilé en France, les australiens nous ont encore fait bien halluciner par leur organisation et expérience en matière de camping.
Sinon, le cliché surf-soleil-mer caraïbe-streetwear fluo ça vous parle ??? Eh bien, c’est vraiment le cas. Il faut ajouter le petit skate sur lequel il est normal de voir familles et jeunes l’utiliser comme moyen de transport et la boucle est bouclée !
- Côté budget : Bon comme précisé précédemment, un voyage en Australie ne s’improvise pas. Nous avons décidé (pas facile) de passer outre ‘Whitsundays’, ‘Fraser Islands’, la plongée dans la barrière de corail…En gros de rayer de notre ‘to do list’ les motivations de notre venue sur place. Mais le budget était loin d’être négligeable et au vu du mois qui nous attend (NZ + Polynésie) il faut bien faire des concessions. On garde notre budget gros craquage pour la suite.
- Ah oui, précison le….on a retrouvé notre rythme bien frenchy (ou froggy) : un verre de vin (min.) par jour. Aaaaaaaaahhhh quel bonheur ! C’est toutes petites choses si insignifiantes qu’on apprécie tant !


Byron Bay : 2 ‘has been’ au pays des cools surfeurs
Avons-le, nous avons un peu ‘loosé’ sur ce coup. A trop attendre la dernière minute pour trouver un campervan, bah on en a pas trouvé (normal c’est les grandes vacances et LA semaine avec le plus grand pont de l’année). Bref, un mix entre les ponts de mai et le 15 Aout. Les grandes villes sont vidées, les stations balnéaires en surchauffe et les prix flambent (grrrrrr…)
Pour rattraper le coup on a réussi à dégoter 2 places en dortoir et on retournera à Sydney par le bus de nuit ! Le comble : les nuits en dortoir (pourri) ont été les plus chères depuis le début de notre voyage !
- Cette étape aura été l’expérience de la vraie guest house pour ado backpackers : celles où l’on dort en dortoir, où règne un joyeux bordel, où tout est toujours un peu trop crade…une ‘cool-jeun’s-attitude’ bien à l’opposé de nos habitudes mais qu’on apprécie tout de même. Et finalement ça permet tout de même de rencontrer du monde.
- Byron bay c’est LA place mythique pour le surf. C’est donc aussi LE moment idéal pour nous de s’essayer à ce sport. Planche de débutant sous le bras (outch, c’est lourd), c’est parti pour 2,5km de marche pour rejoindre le bon spot du moment (pour les débutants bien évidemment). Nous voilà arrivé sur Tallow beach, planche en main, mais dos en moins. On se remémore les ‘tuto’ vu sur internet la veille et plouff nous voilà à l’eau à essayer de ‘rider la vague’. Il nous aura fallu beaucoup de grosses gamelles, de passages en lessiveuse sous les vagues pour comprendre que quand on est débutant, on ne prend les vagues que quand elles se cassent. Bref, une fois le point compris on arrivera difficilement mais fièrement à se dresser sur nos planches pendant quelques secondes. Le clou du spectacle : Laurent a eu le droit à la visite d’un dauphin pendant ses tentatives !
- Et pour surfer sur la vague de Byron Bay, un style est de rigueur ! Appelons-le le ‘hippie-Surf new generation’ : marcher pied nu est de rigueur (pouah ! dégueulasse de voir l’état de leurs pieds, et dire qu’ils vont au lit comme ça….), short taille haute ultra court dévoilant la pliure des fesses (sinon c’est ‘has been’), seins biens rebondis et surtout biens visibles, assorti d’un prude bandeau à fleur dans les cheveux (l’intrus), tatouage biens visibles et tant pis s’il est ridicule : « You Only Live Once » (YOLO generation).

OZ : the end ; NZ : GO ! C’est parti pour 20 jours. ‘See you and take care’

6 commentaires:

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  2. Hello Estelle, C'est la première fois que je t'écris, mais sache que je suis régulièrement ton blog. Je suis moi même une grande voyageuse, mais je n'ai jamais tenté le grand saut comme vous sur une si longue période et via un tour du monde. Alors, je le vis un peu à travers vous :-) Et puis, je connais certai,ss des pays où vous passez alors cela réactives plein de bons souvenirs. Merci de ce partage, de l'humanité et l'humour que vous mettez dans vos textes. A bientôt de vous suivre. Elsa MISSONGE

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  3. Chère Isabelle et Elsa,
    Un grand merci à toutes les deux pour vos sympathiques messages. On prend beaucoup de plaisir à partager nos échappées et ça nous en donne d’autant plus de savoir que ça vous fait plaisir !
    A très vite alors pour notre escapade néo-zélandaise !
    E&L

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  4. Au pays des Maoris, il FAUT faire en rando le Tongariro (une ballade dans la journée merveilleuse), le Taranaki et le Fiordland aussi si possible (il y a des resa à faire d'après mes souvenirs). Il y a aussi les baleines et les rastas (!) à Kaikoura, Rotorua évidemment etc... Vous allez vous régaler!!!
    Et puis surtout faire attention aux petits kiwis* sur les routes... :)
    *: non, pas les fruits, les ch'tits oiseaux qui sont mignons comme tout

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  5. Hello Olivier,
    thank U for the advice BRO ;-)
    On est allé à Fiordland (sympa mais je pense moins que lorsque c'est enneigé et on a eu beau temps!), la rando à Tangariro est prévue, Rotorua aussi, en revanche on va zapper Kaikoura et Taranaki je pense... on n'a pas le temps de tout faire (3 semaines seulement).
    Merci encore.
    La bise!

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