* Voir part One! :-)
Photos ajoutées à la fin de l’album NZ. Cliquez ici !
Suite et fin de notre itinéraire bol d’air Kiwi (le fruit ? le cirage ? l’oiseau ? ou l’habitant ? à vous de voir, les 4 marchent). Nous sommes restés 6 jours sur l’île du Nord. Autant vous dire qu’il a fallu tailler dans le vif pour sélectionner les points d’intérêts. Au final nous avons opté pour le circuit ci-contre : démarrage par le sud de l’île du nord (Wellington) puis montée progressive en direction d’Auckland avec une légère digression à l’est. Souvenirs et impressions de cette ‘Part Two’ Néo-Zed (snifff…).
- Pour commencer : on est triste de quitter ‘Aotearoa’ (nom maori de la NZ signifiant ‘long nuage
blanc’), cette contrée si lointaine mais qui nous parait si familière tant il y a de similitudes avec notre belle Europe ou autres échappées, et de quitter notre roulotte des temps modernes qui nous a permis de nous recréer un petit cocon bien que le décor fut en perpétuel changement pendant ces 3721 km parcourus, 3ème et dernier pays anglo-saxon.
Mais la bonne nouvelle dans tout ça, c’est que la Nouvelle Zélande ne marque pas qu’une fin, c’est aussi le commencement d’une nouvelle trilogie : celle du Triangle Polynésien ! Nous avons réalisé bien tardivement que le triangle polynésien a pour extrémités NZ-Hawaï-île de Pâques et en son cœur la Polynésie Française (entre autre). Notre Trilogie à nous sera : NZ-Polynésie-île de Pâques. Pas mal hein ??? On pourrait renommer cet article ‘Triangle Polynésien Part One’. Ce constat était plus évident à faire une fois arrivés sur l’île du Nord où la présence et la culture maorie sont bien plus visibles (d’ailleurs dans l’île du Sud nous ne l’avons pas ressentie à l’exception des babioles vendues dans les boutiques de souvenirs). Dans l’île du Nord, leur présence est indéniable : gros costauds typés polynésiens partout, des représentations de guerriers mythologiques partout et les noms des villes plus souvent d’origine maorie. Même si nous en avons qu’un bref aperçu, c’est passionnant de découvrir cette culture.
- Quoi de neuf sur l’île du sud ? On a troqué les montagnes enneigées et les fjords pour les volcans enneigés et les collines. Les statues maories se sont rajoutées à notre orgie de vert et de moutons. Les vues sont plus proches des paysages lunaires du ‘Seigneurs des Anneaux’ ou vallonnés de son ‘Hobbiton’. A n’importe quel moment vous vous attendez à voir surgir un de ces hobbits aux longues oreilles et pattes poilues.
- Quelques mots sur Wellington : L’arrivée nocturne à Wellington
a été un peu monotone (ouarff, ça rime !). Pluie diluvienne, plus de phares, obligation d’aller dans un ‘car park’ coincé entre l’embarcadère des gros ferries et le périph de Wellington (moins dense et glauque que le Parisien). So charming ! Notre nuit la moins chouette du séjour et la plus chère (les 2 vont souvent de pair). Bref après cette nuit, qui s’est de tout de même bien passée, le soleil a décidé de réapparaître (pour notre plus grande chance !) et nous sommes allés déposer notre maison-roulante chez le garagiste. Là, ce fut un enchantement ! (non, non, ce n’est pas une blague !). Nous
avons rencontré le plus souriant et gentil des garagistes de la planète ! Un vrai bonheur pour cette corvée qui n’est jamais bon augure (en même temps ce n’est pas nous qui réglons la note…). Au moins la roulotte est bien garée et chouchoutée pendant que nous passons la journée à visiter le coin.
Le point fort de notre visite : le musée national ‘Te Papa’. Ce n’est pas le type de musée où vous admirez l’héritage du millénaire écoulé, mais c’est (entre autre) un recensement complet de la faune actuelle, une introduction à la culture maorie et une exposition de l’histoire NZ pour mieux éclairer votre voyage. C’est aussi et surtout un superbe modèle de la pédagogie par le ludique ! Qu’ils sont fort les anglo-saxons dans la matière !
- Fraîche balade sur des terres bien échaudées: « Un ‘Tongariro Alpine crossing’ avec en supplément un détour au sommet d’un volcan s’il vous plaît. » « Ca sera tout ma p’tite dame ? ça fera 9h30 de balade s’il vous plaît. »
Bon globalement ça va. Il faut enchaîner les pas et les heures de marche dans des paysages lunaires (sens propre et figuré). Il y aura juste 4h de difficile sur cette balade : l’ascension et descente du volcan, puis l’ascension qui suit alors qu’on pensait que nous avions passé le plus difficile.
Cette balade est réputée comme étant la plus belle des balades d’une journée de NZ. On confirme, un vrai régal : paysages lunaires, volcans enneigés, roches aux formes et couleurs surprenantes, des masses rocheuses à monter avec des vues spectaculaires, des pentes de caillasse ou sable noire à dévaler, des bassins aux eaux bleues turquoise, des geysers et fumeroles qui transpercent la terre par endroits. Seule la fin est barbante : Les 2 dernières heures de marches qui vous servent juste à retourner au parking avec un paysage sans intérêt (en comparaison des 7h30 précédentes).
- Virée à l’institut ‘Te Puia’ de Rotorua pour la promotion de la culture Maori. L’occasion d’écouter les chants, de s’essayer au Akha (Laurent trop content !) et danses traditionnelles, d’apprendre le vocabulaire de base, d’observer les techniques traditionnelles d’ébénisterie et de fabrication des vêtements, de voir encore des sources thermales, des geysers et de rencontrer en chair et os notre premier Kiwi ! (l’animal pas le Néo-Zed !). Et tout ça sur un fond d’air d’œuf pourri. Région volcanique oblige !
- Auckland the end : Quand on y pense ça fait froid dans le dos (ou plus juste titre : chaud aux fesses).
Auckland repose sur 50 volcans endormis. Une éruption arrive en moyenne tous les 1000 ans… La dernière ayant eu il y a 600ans, il y a une forte (mal)chance que l’un d’eux se réveille tantôt…et le plus fou, c’est que plus d’un quart de la population NZ vie à ou autour d’Auckland. Flippant sur le principe…
Pour résumer Auckland : il y a les bouchons qui nous rappellent ceux du périph parisien pour rentrer dans la ville de bonne heure. Il y a la baie et son impressionnant port abritant cargos, colossaux ferries de croisières, bateaux de courses tout carbone, yacht en tous genres et petits voiliers. Il y a aussi cette grande tour surmontée d’une soucoupe
volante, sky tower, au cœur d’un petit ‘La Défense’ qui rend Auckland si reconnaissable. Il y a les volcans sacrés surplombant la ville d’où on peut admirer Auckland, son étendue et sa diversité. Mais surtout il y a Alexandra, David et leur petit Nico que nous avions rencontré au Laos et que nous avons retrouvés à l’occasion de notre halte dans la ville. C’est bien agréable de passer une soirée avec de vrais Néo-Zed et qui partagent leur passion pour leur pays (bien qu’ils soient férus de voyage !). On a pu parquer notre roulotte dans leur bout de parking-jardin et c’est ensemble, autour d’une bonne bouteille kiwi (NZ, pas le cirage), que nous avons clôturé notre échappée Néo-Zed. Sweet as !
Petit conseil pour tout globe-trotteur de passage à Auckland : ne perdez pas votre temps à faire la ‘Coast to coast walkway’ à pied. Elle ne vaut pas le coup. Nous n’avons pas trouvé la ville belle et les points d’intérêts (port, volcans) se rejoignent en voiture sans problème.
- Et dans la rubrique ‘En vrac’ :
On a continué à profiter un max du camping nature. Pus difficile de trouver des ‘spots’ alors soyons francs on n’a pas passé toutes nos nuits dans des lieux bien autorisés. Ouff, pas pris la main dans le sac, pas d’amende à 200dols...
Nous avons tenté un petit détour sur la fameuse plage ‘Hot Water Beach’ où vous creusez une petite piscine d’eau chaude naturelle (dû à la présence de source d'eau chaude d'origine géothermique). Nous sommes arrivés juste à temps avant que la marée soit trop haute pour observer le phénomène mais pas assez pour creuser notre spa du moment. Nous avons remplacé le bain thermal par un bon bain de soleil sur la plage déserte et une baignade revigorante pour Laurent.
Autres lieux que nous avons vus et aimés : Passer saluer les souffleurs de verre à Whanganui et admirer quelques belles et bien complexes réalisations. Voir la mine ouverte de Whangamata où l’on creuse à plus de 300 m de profondeur pour remonter les tonnes de sable d’où est extraite la poussière d’or. Difficile d’imaginer que d’un chantier aussi colossal soit extraite une matière aussi délicate.
Et enfin pour conclure, dans la série ‘craquage d’Estelle’ ce sera pour cette fois l’acquisition de hauts 100% laine de mérinos, l’une des spécialités de l’île du sud. Quand on tombe sur l’outlet Icebreaker, une marque outdoor/sportwear 100% merino, vous comprendrez qu’il est bien difficile de résister (au plus grand désarroi de Laurent…) ! En tous les cas, matière testée et largement approuvée. Juste un petit problème…le sac commence va craquer… :-(
Pour conclure cette échappée, une fois de plus, on a aimé ! 3 semaines c’est juste pour faire correctement le combo île du nord et du sud (et encore moins pour vous aventurer sur un trek de plusieurs jours). Si nous devons donner nos principaux coups de cœurs pour ces 20 jours nous dirions :
Nous avons eu une météo idéale, même inespérée pour la saison. Bref, on continue à surfer sur notre belle vague Madame Chance.
Nous venons d’atterrir à Papeete. Arrivée géantissime : musique et danse polynésienne avant de passer le contrôle de douane, couronnes de fleurs autour de la tête et du cou à votre arrivé. Ça n’est pas que dans les films ! A suivre…
Pō Mārie (au revoir en marori) , take care, et à très vite pour la suite !
E&L
Photos ajoutées à la fin de l’album NZ. Cliquez ici !
Suite et fin de notre itinéraire bol d’air Kiwi (le fruit ? le cirage ? l’oiseau ? ou l’habitant ? à vous de voir, les 4 marchent). Nous sommes restés 6 jours sur l’île du Nord. Autant vous dire qu’il a fallu tailler dans le vif pour sélectionner les points d’intérêts. Au final nous avons opté pour le circuit ci-contre : démarrage par le sud de l’île du nord (Wellington) puis montée progressive en direction d’Auckland avec une légère digression à l’est. Souvenirs et impressions de cette ‘Part Two’ Néo-Zed (snifff…).
- Pour commencer : on est triste de quitter ‘Aotearoa’ (nom maori de la NZ signifiant ‘long nuage
blanc’), cette contrée si lointaine mais qui nous parait si familière tant il y a de similitudes avec notre belle Europe ou autres échappées, et de quitter notre roulotte des temps modernes qui nous a permis de nous recréer un petit cocon bien que le décor fut en perpétuel changement pendant ces 3721 km parcourus, 3ème et dernier pays anglo-saxon.
Mais la bonne nouvelle dans tout ça, c’est que la Nouvelle Zélande ne marque pas qu’une fin, c’est aussi le commencement d’une nouvelle trilogie : celle du Triangle Polynésien ! Nous avons réalisé bien tardivement que le triangle polynésien a pour extrémités NZ-Hawaï-île de Pâques et en son cœur la Polynésie Française (entre autre). Notre Trilogie à nous sera : NZ-Polynésie-île de Pâques. Pas mal hein ??? On pourrait renommer cet article ‘Triangle Polynésien Part One’. Ce constat était plus évident à faire une fois arrivés sur l’île du Nord où la présence et la culture maorie sont bien plus visibles (d’ailleurs dans l’île du Sud nous ne l’avons pas ressentie à l’exception des babioles vendues dans les boutiques de souvenirs). Dans l’île du Nord, leur présence est indéniable : gros costauds typés polynésiens partout, des représentations de guerriers mythologiques partout et les noms des villes plus souvent d’origine maorie. Même si nous en avons qu’un bref aperçu, c’est passionnant de découvrir cette culture.
- Quoi de neuf sur l’île du sud ? On a troqué les montagnes enneigées et les fjords pour les volcans enneigés et les collines. Les statues maories se sont rajoutées à notre orgie de vert et de moutons. Les vues sont plus proches des paysages lunaires du ‘Seigneurs des Anneaux’ ou vallonnés de son ‘Hobbiton’. A n’importe quel moment vous vous attendez à voir surgir un de ces hobbits aux longues oreilles et pattes poilues.
- Quelques mots sur Wellington : L’arrivée nocturne à Wellington
a été un peu monotone (ouarff, ça rime !). Pluie diluvienne, plus de phares, obligation d’aller dans un ‘car park’ coincé entre l’embarcadère des gros ferries et le périph de Wellington (moins dense et glauque que le Parisien). So charming ! Notre nuit la moins chouette du séjour et la plus chère (les 2 vont souvent de pair). Bref après cette nuit, qui s’est de tout de même bien passée, le soleil a décidé de réapparaître (pour notre plus grande chance !) et nous sommes allés déposer notre maison-roulante chez le garagiste. Là, ce fut un enchantement ! (non, non, ce n’est pas une blague !). Nous
avons rencontré le plus souriant et gentil des garagistes de la planète ! Un vrai bonheur pour cette corvée qui n’est jamais bon augure (en même temps ce n’est pas nous qui réglons la note…). Au moins la roulotte est bien garée et chouchoutée pendant que nous passons la journée à visiter le coin.
Le point fort de notre visite : le musée national ‘Te Papa’. Ce n’est pas le type de musée où vous admirez l’héritage du millénaire écoulé, mais c’est (entre autre) un recensement complet de la faune actuelle, une introduction à la culture maorie et une exposition de l’histoire NZ pour mieux éclairer votre voyage. C’est aussi et surtout un superbe modèle de la pédagogie par le ludique ! Qu’ils sont fort les anglo-saxons dans la matière !
- Fraîche balade sur des terres bien échaudées: « Un ‘Tongariro Alpine crossing’ avec en supplément un détour au sommet d’un volcan s’il vous plaît. » « Ca sera tout ma p’tite dame ? ça fera 9h30 de balade s’il vous plaît. »
Bon globalement ça va. Il faut enchaîner les pas et les heures de marche dans des paysages lunaires (sens propre et figuré). Il y aura juste 4h de difficile sur cette balade : l’ascension et descente du volcan, puis l’ascension qui suit alors qu’on pensait que nous avions passé le plus difficile.
Cette balade est réputée comme étant la plus belle des balades d’une journée de NZ. On confirme, un vrai régal : paysages lunaires, volcans enneigés, roches aux formes et couleurs surprenantes, des masses rocheuses à monter avec des vues spectaculaires, des pentes de caillasse ou sable noire à dévaler, des bassins aux eaux bleues turquoise, des geysers et fumeroles qui transpercent la terre par endroits. Seule la fin est barbante : Les 2 dernières heures de marches qui vous servent juste à retourner au parking avec un paysage sans intérêt (en comparaison des 7h30 précédentes).
- Virée à l’institut ‘Te Puia’ de Rotorua pour la promotion de la culture Maori. L’occasion d’écouter les chants, de s’essayer au Akha (Laurent trop content !) et danses traditionnelles, d’apprendre le vocabulaire de base, d’observer les techniques traditionnelles d’ébénisterie et de fabrication des vêtements, de voir encore des sources thermales, des geysers et de rencontrer en chair et os notre premier Kiwi ! (l’animal pas le Néo-Zed !). Et tout ça sur un fond d’air d’œuf pourri. Région volcanique oblige !
- Auckland the end : Quand on y pense ça fait froid dans le dos (ou plus juste titre : chaud aux fesses).
Auckland repose sur 50 volcans endormis. Une éruption arrive en moyenne tous les 1000 ans… La dernière ayant eu il y a 600ans, il y a une forte (mal)chance que l’un d’eux se réveille tantôt…et le plus fou, c’est que plus d’un quart de la population NZ vie à ou autour d’Auckland. Flippant sur le principe…
Pour résumer Auckland : il y a les bouchons qui nous rappellent ceux du périph parisien pour rentrer dans la ville de bonne heure. Il y a la baie et son impressionnant port abritant cargos, colossaux ferries de croisières, bateaux de courses tout carbone, yacht en tous genres et petits voiliers. Il y a aussi cette grande tour surmontée d’une soucoupe
volante, sky tower, au cœur d’un petit ‘La Défense’ qui rend Auckland si reconnaissable. Il y a les volcans sacrés surplombant la ville d’où on peut admirer Auckland, son étendue et sa diversité. Mais surtout il y a Alexandra, David et leur petit Nico que nous avions rencontré au Laos et que nous avons retrouvés à l’occasion de notre halte dans la ville. C’est bien agréable de passer une soirée avec de vrais Néo-Zed et qui partagent leur passion pour leur pays (bien qu’ils soient férus de voyage !). On a pu parquer notre roulotte dans leur bout de parking-jardin et c’est ensemble, autour d’une bonne bouteille kiwi (NZ, pas le cirage), que nous avons clôturé notre échappée Néo-Zed. Sweet as !
Petit conseil pour tout globe-trotteur de passage à Auckland : ne perdez pas votre temps à faire la ‘Coast to coast walkway’ à pied. Elle ne vaut pas le coup. Nous n’avons pas trouvé la ville belle et les points d’intérêts (port, volcans) se rejoignent en voiture sans problème.
- Et dans la rubrique ‘En vrac’ :
On a continué à profiter un max du camping nature. Pus difficile de trouver des ‘spots’ alors soyons francs on n’a pas passé toutes nos nuits dans des lieux bien autorisés. Ouff, pas pris la main dans le sac, pas d’amende à 200dols...
Nous avons tenté un petit détour sur la fameuse plage ‘Hot Water Beach’ où vous creusez une petite piscine d’eau chaude naturelle (dû à la présence de source d'eau chaude d'origine géothermique). Nous sommes arrivés juste à temps avant que la marée soit trop haute pour observer le phénomène mais pas assez pour creuser notre spa du moment. Nous avons remplacé le bain thermal par un bon bain de soleil sur la plage déserte et une baignade revigorante pour Laurent.
Autres lieux que nous avons vus et aimés : Passer saluer les souffleurs de verre à Whanganui et admirer quelques belles et bien complexes réalisations. Voir la mine ouverte de Whangamata où l’on creuse à plus de 300 m de profondeur pour remonter les tonnes de sable d’où est extraite la poussière d’or. Difficile d’imaginer que d’un chantier aussi colossal soit extraite une matière aussi délicate.
Et enfin pour conclure, dans la série ‘craquage d’Estelle’ ce sera pour cette fois l’acquisition de hauts 100% laine de mérinos, l’une des spécialités de l’île du sud. Quand on tombe sur l’outlet Icebreaker, une marque outdoor/sportwear 100% merino, vous comprendrez qu’il est bien difficile de résister (au plus grand désarroi de Laurent…) ! En tous les cas, matière testée et largement approuvée. Juste un petit problème…le sac commence va craquer… :-(
Pour conclure cette échappée, une fois de plus, on a aimé ! 3 semaines c’est juste pour faire correctement le combo île du nord et du sud (et encore moins pour vous aventurer sur un trek de plusieurs jours). Si nous devons donner nos principaux coups de cœurs pour ces 20 jours nous dirions :
- Notre vie en campervan, nos réveils aux premières loges du magnifique voire mystique spectacle que nous offre la nature.
- La route de Milford Sound à Te Anau tôt le matin quand toute la nature est prise dans le gel et qu’elle étincelle aux premiers rayons.
- La balade d’une journée à l’Alpine crossing et la trépidante montée au sommet du volcan Ngauruhoe même si nous n’avons pas eu la belle vue d’en haut (faute de madame la brume qui nous a assiégé au moment où nous avons atteint le sommet).
- Et tout de même une préférence pour l’île du sud, plus sauvage, souvent déserte.
Nous avons eu une météo idéale, même inespérée pour la saison. Bref, on continue à surfer sur notre belle vague Madame Chance.
Nous venons d’atterrir à Papeete. Arrivée géantissime : musique et danse polynésienne avant de passer le contrôle de douane, couronnes de fleurs autour de la tête et du cou à votre arrivé. Ça n’est pas que dans les films ! A suivre…
Pō Mārie (au revoir en marori) , take care, et à très vite pour la suite !
E&L
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