samedi 7 juin 2014

Ia orana Pōrīnetia Farāni!*

* Bonjour/Belle Polynésie française !

Album: cliquez ici

Alors quelle forme prendra notre échappée Polynésienne ?
Plutôt ‘love in the air’-‘honeymooners’,
plutôt orgie de plongée ou alors en mode sauts de puce d’une île à une autre pour en voir un max? Eh bien ceux qui nous connaissent bien savent que ce sera ni l’un ni l’autre mais plutôt un mélange revisité. On a retenu l’option boulot-snorkeling-relax (façon E&L…).
On imagine déjà la réaction de certains : « QUOI !!!!??? Vous êtes allés bosser alors que vous êtes dans l’une des plus paradisiaques régions du monde !!!! Mais vous êtes complément à côté de vos pompes!! ». On vous répondra : « Pas faux. Mais notre expérience vaut tout l’or du monde ! ».
Allez, c’est parti. Débriefe de nos escapades entre Tahiti, Ahe et Moorea.




TAHITI: PLONGEON AU COEUR DE LA BONNE-HUMEUR POLYNESIENNE

Ça vous a toujours fait rêver de voir dans les films des gars qui, à la descente de l’avion, sont couronnés de fleurs accueillis par les doux airs de ukulélé et une sensuelle danseuse ? Eh bien ce n’est pas un cliché et c’est bien de cette façon-là que vous êtes accueillis à Tahiti ! Pour commencer dès la montée dans l’avion à Auckland une fleur de tiaré nous a été offerte, puis à l’atterrissage chants et danses traditionnelles nous attendaient avant même de passer les contrôles douaniers. Enfin, et une fois sortie de l’aérogare nous avons été décorés de colliers et couronnes de fleur ! Le pied !
Le propriétaire de notre guest-house (en dortoir…on est loin du ‘trip honeymooners’…) vient nous chercher à l’aéroport. Très bon feeling, lui et sa femme nous seront d’une précieuse aide pour la suite de notre organisation sur place. Oui parce qu’il faut l’avouer, quand nous sommes arrivés à Tahiti nous n’avions pas encore décidé de notre programme. Ça en a scotché plus d’un de voir 2 touristes qui répondent à leur question « quel est votre programme ? » d’entendre « bah on sait pas encore».
Nous avons passé une journée à Pape'ete (prononcer Papééééété et pas papette svp) pour réfléchir, évaluer, contacter et décider du programme. Une idée un peu inappropriée nous animée : une envie de travailler. Laurent nous a dégoté un super contact pour rejoindre une ferme perlière ‘au bout du monde’ (surtout depuis Paris…). Bref, hasard des rencontres sur Pape’ete et ténacité des recherches sur internet nous ont permis d’arriver en deux-deux à concrétiser cette belle expérience.

Revenons à Pape'ete et à nos premières impressions :
   - Soyons franc Pape'ete ce n’est pas terrible. Pas grand-chose à voir ni à faire sauf si vous avez envie de faire la tournée des boutiques de perles. Tout ferme très tôt (~17hrs), mais la vie démarre plus tôt.
   - Agréable surprise de la chaleur polynésienne (météo au poil), mais surtout de celle des polynésiens ! Nous avons largement profité de leur bonne-humeur et de leur GRAND sourire.
   - Il nous faut aussi nous habituer avec le langage local. Apprentissage des mots de base en Tahitien (io rana, maruru, manouia, nana…), on ne peut s’empêcher par mimétisme de prendre un peu l’accent (en roulant bien les ‘rrrrrrr’) et on tutoie tout le monde. C’est la règle là-bas, il ne faut pas s’en offusquer !
   - Les polynésiens sont avenants, voir hyper curieux ! Ils vous demandent toujours d’où vous êtes, ce que vous faites, votre programme, s’inquiètent de savoir si vous avez aimé (pour vous, chers lecteurs, convaincre de venir leur rendre visite) et sont tout plein de conseils pour que vous profitiez aux maximum de leurs îles. La règle ici : prendre le temps d’échanger. C’est d’ailleurs en partie grâce à cela que nous avons pu décanter notre programme et aussi mieux cerner la réalité de ces îles paradisiaques qui n’est pas toujours des plus enchanteresses.
   - Une fois encore, non ce n’est pas un cliché : les tahitiennes ont des fleurs dans leur beaux et longs cheveux noirs (voir même des couronnes), les imprimés de fleurs de tiaré ou de hibiscus sont partout.
   - Qui dit Polynésie, dit aussi France… et qui dit France dit : retrouvailles avec la langue (facilité d’échange) et avec les produits ou plats qu’on aime tant ! Huuuummmmmm…crêpes (avec cidre svp !), fromage et saucisson entre 2 plats de thon cru au lait de coco !
   - Et pour ce qui concerne l’île de Tahiti, bah il faudra que vous lisiez les guides : nous n’avons pas pris le temps de la visiter.


AHE: ATOLL DU BOUT DU MONDE AU RYTHME DE LA FERME PERLIERE DE KAMOKA

12 jours. Juste le temps de s’imprégner d’une vie bien extraordinaire, pour nous autres parisiens au bout du monde et en (presque) totale harmonie avec la nature.
- Petit aperçu de Ahe : Ahe est un atoll situé dans l'archipel des Tuamotu de 23,5 km de longueur et de 12,2 km de largeur maximales pour une surface de terres émergées de 12 km2, appelée motu. Sa population ‘terrestre’ est d’environ 500 âmes, quelques chiens et chats et une profusion de rats, cafards, crabes et Bernard l’Hermite. Le village principal est situé à l’opposé du petit aéroport (très pratique…) et de notre lieu de villégiature du moment. On y trouve 2 magasins d’alimentation générale pour les produits de base, 2 pensions pour accueillir une poignée de touriste en recherche d’isolement, et 5 églises.
Notre ami Wikipédia nous explique que « d'un point de vue géologique, l'atoll est l'excroissance
corallienne (de quelques mètres) du sommet du mont volcanique sous-marin homonyme de la plaque du Pacifique, qui mesure 2 760 mètres depuis le plancher océanique, formé il y a entre 57,7 et 60,9 millions d'années. Un lagon couvre une superficie de 138 km2 accessible par une passe unique située à l'ouest.» En d’autres termes on vit sur et avec le corail. C’est le sol que nous foulons, c’est celui qui habille les fonds marins, décore les bungalows et vient se loger dans la moindre petite plaie pour lui faire prendre des proportions bien plus embêtantes (solution miracle : le citron vert !).
Qui dit atoll dit donc encerclé par la mer. Brrrrrrr…ça fou la frousse de se savoir en plein milieu de l’océan pacifique, entouré par cette mer si grande, si belle mais qui être peut si hostile.
Qui dit atoll dit aussi quasiment pas de barrière naturelle au vent. Les quelques cocotiers et le maquis ne suffisent pas à le contrer. Il faut donc vivre avec le ce vent quasi constant.
En gros ce n’est pas sur terre (pour être plus juste ‘sur le corail’) que ça se passe mais sous l’eau. Et c’est exactement ce que nous sommes venus chercher.
La ferme perlière de Kamoka est née de la main de Patrick (surnommé Pa’u - prononcer [Paou]) www.kamokapearls.com
il y a plus de 20 ans au moment de la ruée vers l’or de la perle noire de Tahiti. Kamoka a connu ses heures de gloire et aujourd’hui se bat pour subsister (comme beaucoup d’autres). Nous pouvons témoigner d’un bel enseignement de résistance et de persévérance pour résister à une rude concurrence. Il y a encore une décennie, 30 salariés vivaient et œuvraient à temps plein sur ce motu de l’atoll. Plus que 3 sont encore à bord, et de nombreux bungalows sont désertés. Vous pouvez découvrir cette ferme perlière sur son site
Les photos vous permettront de savoir à quoi ressemble une ferme perlière. En résumé il y a la ferme qui est une grande maison de bois construite sur l’eau. On y accède depuis un long mais peu large ponton. Un peu plus loin le lieu de greffe est planté au milieu de l’eau (accessible qu’en bateau, ou à la nage pour les plus téméraires). Sur le motu les bungalows s’éparpillent. Vous avez le choix entre vue sur le récif et l’océan ou vu sur l’intérieur de l’atoll. Bref, tout est vue sur mer !
- L’équipe Kamoka : Merci à Pa’u, Laurent B. et Heiarii pour leur accueil et nous avoir intégré aux activités malgré notre trop court passage à la ferme. Merci aussi à Anne et ces 2 filles Siana et Kéona, ainsi qu’Iris pour les moments passés ensembles.
Nous avons eu plaisir à partager cette expérience avec Mickael, Stéphane et à notre très grande surprise Elise et Annie, 2 américaines rencontrées dans un bar au Laos. Incroyable hasard ! Le voyage continue à avoir son pesant de surprises !!!
Au final, la richesse des échanges, la différence des personnalités et la curiosité de chacun fait que, malgré l’isolement de cet atoll et de notre motu, nous n’avons pas eu l’impression de nous couper du monde. Bien au contraire, ce fût l’occasion de nous ouvrir à d’autres visions.
- Notre bungalow : Nous avons été logés dans un de ces bungalows désertés. Notre bungalow était exposé plein Est vers l’intérieur de l’atoll. Au final on l’aura eu notre bungalow vue sur mer en polynésie ! La claaaaaaasse !
Notre maisonnette était en mode duplex (chambre en mezzanine) et offrait (presque) tout le confort moderne : eau douce froide disponible (récupérée de la pluie), électricité (énergie solaire) pour alimenter le congélateur et la machine à laver (qui l’eut cru !) de la communauté.
- La bouffe : A notre grande surprise : on s’est R.E.G.A.L.É ! Pain et gâteaux maison, poisson fraichement pêché, ratatouille à tomber, énorme salade… Bref, Pa’u nous a concocté ses recettes et c’est certainement la plus ‘healthy food’ que nous ayons eu de tout notre voyage. Estelle a été préposée salade. Jamais elle n’a eu à couper aussi finement les légumes. Un bon test de patience quand on n’a pas le geste juste et rapide des cuisiniers. Et les restes? Et bien, pour les chiens et chats de la ferme ! Peut-être les animaux les mieux nourris de la planète.
Pour faire la vaisselle c’est à l’eau de mer. Ne vous étonnez pas que la première gorgée du café matinale ait un léger goût salé. Et pour l’eau douce que nous buvons c’est tout simplement celle de la pluie.
- Notre participation à la vie de la ferme : Débout 6h, p’tit dej’ familial et c’est parti pour 8 bonnes heures (avec au milieu une grosse pause miam-miam). Bref, des vacances bien reposantes ! J
Laurent de son côté a aidé à transporter des casiers de nacres pour les approcher de l’atoll afin qu’elles soient nettoyées par les poissons, et préparer des casiers pour les futures nacres. Il a tenté d’aller chercher les casiers au fond de l’eau ou de les accrocher, mais le poids des casiers et le manque d’apnée rend la manœuvre impossible. Laurent terminera avec quelques belles égratignures qui se seront infectées dans un temps record ainsi que les mains bien abîmées.
Pour Estelle : réalisation de bijoux sur fil (que demander de mieux ?), et préposée salade quotidienne - bah ouais ça prend vraiment du temps d’avoir à tout couper très finement tous les midis pour 12 personnes.
Seul regret, le greffeur n’était pas là lors de notre passage. Résultat : nous n’avons pas pu assister à quelques tâches bien particulières et primordiales.
- Et les passe-temps !
1er passe-temps : le snorkeling ! Autant vous dire qu’on s’est fait plaisir. Les eaux sont poissonneuses et ‘’requineuses’’. Pas la peine d’aller bien profond pour observer l’étendue des espèces. Un vrai festival !
2ème : La chasse sous-marine, mais pour notre part on peut résumer ce passe-temps en ‘snorkeling armés’ au vue de la petitesse de nos prises. Notre objectif (quand on y arrivait) : nourrir les chats !
En combinant snorkeling et chasse au harpon nous avons croisés presque toutes les espèces du coin. Celles qui nous auront le plus marquées seront : raie-manta, requins (pointes noires, pointes blanches, gris), perroquets (le poisson pas l’oiseau !) et toute une tripotée de poissons rayés et/ou colorés.
3ème: lecture, discours anti-système et méta-physiques de Pa’u (merci pour ton éclairage et la franchise de tes opinions), échec, poker, cartes…
Et la plongée ? Bah non, ça n’existe pas dans le coin…et le snorkeling nous suffira amplement. Mais il est vrai que nous avons été bien intrigués par la face nord. Celle ou le corail ne pousse pas car trop de vent, celle qui descend à pique dans les abysses, truffée de gros bestiaux… brrrr… ça fait froid dans le dos rien que d’y penser….
- Nos nouveaux copains :
Après avoir compris que nous allions devoir partager ce petit bout de récif avec les crabes et Bernard l’Hermite ravageurs (en plus de ces saletés de rats et cafards qui ont décidemment envahis toute la planète), nous avons dû apprendre à vivre avec les requins.
Dès le matin, après la traversée du ponton les 4 requins du coin tournent autour de la ferme. Attendent-ils que mal réveillés nous tombions entre leur dents ? Au début c’est impressionnant. Après on comprend vite qu’ils ne sont pas là pour nous et d’ailleurs ont une frousse terrible de nous. Enfin tant que nous ne nous mettons pas à l’eau, harpon en main pour aller chasser…. Le tir de la flèche et les vibrations du poisson qui se débat attirent ces bestiaux paresseux ! Pourquoi se compliquer la vie quand un poisson tout frais frétille au bout de la flèche ? Règle n°1 en chasse sous-marine : ne pas tirer s’il y a un requin à vue. Règle n°2 : Si tu attrapes un poisson, remonte le très rapidement à la surface et nage jusqu’au bateau poisson hors de l’eau. Et en fait, règle n°0 : si un requin veut prendre ta proie, laisse-le faire et surtout éloigne la flèche de toi.
Dans la série ‘nouveaux copains’ viennent enfin les chiens, les chats de la ferme, mais surtout la chance de voir l’arrivée d’une portée de 5 chatons de quelques heures. On croirait des souriceaux.



MOOREA: FUN & RELAX









Après 12 jours passés sur un atoll, isolés, nous avons choisi de rejoindre Moorea, île montagneuse à 30 min de bateau de Tahiti proposant une plus grande variété d’activité. On décide donc de passer à côté des plus beaux spots de plongée qu’offrent Fakarava et Rangiroa. Le choix n’a pas été des plus faciles.
Notre lieu de villégiature : Une petite piaule basique au ‘Camping Nelson’ (Non ce n'est pas ce qui est sur la photo ci-dessus.Ce ne sera donc à aucun moment un voyage ‘honeymooners’). Malgré le côté un peu sommaire de notre piaule on a tout de même, de notre point de vue, l’un des meilleurs spots de l’île: site en bord de mer, table de pique-nique avec vue sur le reposant lagon turquoise, un sacrée rupture avec les rouleaux de l’océan qui s’éclatent sur le récif à quelques centaines de mètres plus loin.



Ce que nous avons fait et aimé à Moorea :
 - Combiner bain de soleil et activités marines sur la belle plage des Tipaniers. Eau parfaitement turquoise et ombre assurée par les cocotiers. Attention cependant à ne jamais se mettre sous le cocotier… cela pourrait provoquer quelques réveils des plus frappants (malencontreuse noix qui déciderait de tomber sur votre tête).
 - Donc dans la série des activités marines commençons par la 1ère : la plongée à la rencontre des requins citrons. Ceux croisés devaient
bien mesurer plus de 4m. On n’a ressenti aucune agressivité (normal ce n’est pas l’heure du casse-croute). Cependant, même si les bestiaux étaient impressionnants nous avons été très déçus par cette plongée. Tout le corail est mort et les eaux sont peu poissonneuses. C’est là que nous réalisons la magie de nos chasses sous-marines à Ahe. On se limitera donc à une plongée dans le secteur.
- 2ème activité : Le kite ! Enfin, une session car le vent était instable et les fenêtres peu nombreuses. Pour Laurent ça sera panard assuré même si un peu trop court et flippé par le corail qui est à raz
de l’eau. Pour Estelle ce sera la grande dégringolade. Même pas eu l’opportunité de tirer un bord. Une satanée balise qui s’est jetée dans ses lignes (oh la vilaine) l’obligeant à larguer tout le matériel. Après l’assistance de 2 personnes ça se soldera par un retour à la nage et 2h de démêlage de ligne. Mouaif…
- 3ème activité : Louer un kayak (avec son ancre) pour aller saluer les raies et requins pointes noires sur un banc de sable. Expérience impressionnante. Au début on a du mal à se mettre à l’eau (« et si l’un d’entre eux venait nous croquer les orteils ? »), après on comprend vite le manège : des bateaux, qui se relaient toutes les 30 min, proposent aux touristes de nourrir les raies. L’idée nous déplait, mais quand on voit les raies qui se rassemblent et s’agglutinent autour des touristes en leur montant dessus pour aller choper le poisson c’est tout de même un spectacle incroyable et puis finalement ça les fait remonter des fonds ce qui nous permet de profiter de leur présence en nombre pour nager avec elles.
- 4ème activité : Visite de l’île en VTT. Au programme : montée au belvédère histoire de perdre tous les litres d’eau que nos corps pouvaient contenir, route des anas à l’intérieur de l’île pour découvrir les cultures et maisons éparpillées au centre de ce cratère vallonné et verdoyant. C’est aussi l’occasion de faire la tournée de grands hôtels. Les plus incroyables : L’intercontinental avec son bassin de dauphin et le sofitel avec les bungalows sur le lagon.
- Et pour la série fourre-tout on garde en mémoire : les discussions et témoignages des gens de métropole venus s’installer à Tahiti et Moorea ; les douces voix des tahitiens accompagnés de leur ukulélé ; l’occasion d’assister à une compétition inhabituelle, celle du barbecue !; l’importance du tatouage chez les polynésiens (que l’on avait vu en NZ et que nous avons retrouvé sur l’île de pâque) ; et malheureusement une certaine misère sociale que nous avons pu voir. A noter la remarque d’un tahitien bien révélatrice : « le dimanche c’est 50% qui prient, 50% qui picolent », pas très glorieux comme constat pour le paradis sur terre.


RETOUR A PAPE'ETE (TAHITI), FIN DE L'ECHAPPEE
De retour à Pape'ete. Nous avons retrouvé notre pension ‘Te amo’ où nous sommes si bien accueillis par les propriétaires, Gérald et [Keï]. Ils nous ont rendu pas mal de services et ont été très arrangeants. Encore un grand merci !
Nous profitons de cette dernière journée pour aller plonger sur un site de 2 épaves dans le lagon. Un avion et une goélette volontairement coulés à cet endroit il y a une 30/40 ans. Visibilité incroyable, personne sur le site ce jour-là (un lundi), les instructeurs de plongée n’en reviennent pas !
Le reste du temps sera consacré à des points d’organisation et à déguster le thon cru au lait de coco.
Allez, ne passons pas à côté : dans la série craquage d’Estelle ce sera Perle(sssss) de Tahiti bien évidemment ! Souvenirs de Kamoka ou autre…

Nous venons de rejoindre l’île de Pâques. Une bonne façon de clôturer notre visite du triangle polynésien et pour commencer notre dernière étape (sniff) : America Latina !!
A très vite pour le récit de notre échappée chilienne.
E&L

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