Après le triangle culturel, nous avons rejoint la partie sud du pays. 2 temps forts : les montagnes, puis le bord de mer. Nous allons partager nos temps forts des différentes étapes.
- Visiter la plantation de thé Mackwoods et voir tous ces champs sur la route sinueuse qui mène à Nuwara Eliya
- Dormir chez l’habitant et pouvoir y laver quelques vêtements à la machine : le luxe !
- Le réveil des religions à 5hrs du matin où se sont succédés le chant du muezzin puis les prières bouddhistes (~1hr) et les cloches de l’église.
Ella : Grosse déception, le seul jardin d’épice était fermé pour travaux. Nous aurons peut-être une chance d’en voir un en Inde.
Tissamaharama, ou "Tissa", est une ville près de la côte entourée de rizières et d'un lac. Cette ville est le point de départ pour les safaris dans le parc national de Yala.
Mirissa est une petite ville de la côte sud qui abrite 2 belles et étroites plages bordées de cocotiers. Les vagues peuvent y être très grosses. Elle a subit le tsunami de 2004.
On a aimé :
- Notre premier stop détente plage ! L’eau de l’océan indien est chaude, très salée et assez agitée.
- Le soleil tape fort, et le meilleur moyen de se rafraichir est de profiter des ‘young coconuts’ dont l’île regorge ! En plus ‘One coconut a day, keep the doctor away’. On aurait tort de s’en priver…
- Étonnant de voir toutes les paillotes le long de la plage en ‘Reggae Style’ ! Les Sri Lankais rasta on le monopole et Bob est partout ! Seul hic : la musique à fond sur la plage toute la journée. Nous étions venus chercher du calme. Ça ne sera pas pour cette fois.
- Petit hôtel en bord de mer sympa : vous êtes réveillé par les vagues et allez piquer une tête au réveil. Seul hic du lieu (en plus de la musique tard dans la nuit) : les moustiques ! Une invasion à nouveau ! Coriaces en plus ! ça nous a permis de découvrir le meilleur anti-moustique au monde: Estelle ! Laurent : 0 piqûre; Estelle: on ne compte plus malgré toutes les précautions prises…
- La rencontre avec une famille québécoise qui a fait le choix de faire eux-mêmes la scolarité de leurs enfants pour pouvoir s’évader régulièrement pour de longues échappées.
- La rencontre d’un charmant couple rouennais féru de voyages. D’ailleurs au passage nous vous saluons ! on imagine que vous êtes en train de nous lire.
- Petit pépin de santé : Seule fois du séjour ou nous dérogeons à notre règle de végétariens, Laurent avale une belle arrête qui reste coincée dans la gorge. Aïe. Douloureux. Au final, en persistant un peu, Estelle a réussi à la voir et à l’extraire avec une pince à épiler. Fin des 2 jours de bagne pour Laurent.
Unawatuna, est une autre plage du littoral plus longue et plus large que Mirissa. Elle a été aussi dévastée par le tsunami de 2004.
On a aimé :
- De loin la plus conviviale guest house. Pour le
coup, nous avons vraiment partagé de bons moments avec une famille Sri Lankaise. Si vous passez par là, arrêtez-vous à la ‘White House’. Accueil chaleureux garanti !
- Cours de cuisine Sri Lankais dispensé par cette famille. 3 heures passées en compagnie de la patronne (~75 ans et d’une forme olympique) et de sa fille. Ici c’est 0 électricité et gaz. Tout se fait au feu de bois et au pilon. Le cours de cuisine devient un vrai cours de musculation dans ces conditions. C’est bien loin de notre confort. Tout est fait maison : L’huile de coco, les épices, le curry… Notre patronne est une grande prêtresse de la cuisine !
Le plus dur : La côte a été ravagée par le tsunami de 2004. Sur le trajet Mirissa-Unawatuna, la route était jonchée de pierres tombales en commémoration des disparus (+de 30 000 personnes). Bien que les autorités aient interdit de reconstruire sur le littoral, tout se reconstruit au milieu des détritus du passés.
Nuwara Eliya, la ville la plus haute du sri Lanka, a été créée par les colons britanniques (fin XIXe) pour se détendre loin de la chaleur du littoral. Les environs verdoyants de Nuwara Eliya sont consacrés aux plantations de thé mais aussi aux potagers et arbres fruités.
On a aimé :- Visiter la plantation de thé Mackwoods et voir tous ces champs sur la route sinueuse qui mène à Nuwara Eliya
- Dormir chez l’habitant et pouvoir y laver quelques vêtements à la machine : le luxe !
- Le réveil des religions à 5hrs du matin où se sont succédés le chant du muezzin puis les prières bouddhistes (~1hr) et les cloches de l’église.
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| Nuwara Eliya - Plantation de thé Mackwoods |
Ella : Grosse déception, le seul jardin d’épice était fermé pour travaux. Nous aurons peut-être une chance d’en voir un en Inde.
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| Léopard au parc national de Yala |
On a aimé :
- Safari dans le parc de Yala. Départ 5hrs du matin, retour 12h00. Nous sommes ravis de notre excursion : magnifique levé de soleil, léopards/ crocodiles/ éléphants au rendez-vous, le tout en bord en mer !
- Notre guest house était en bordure d’une rizière : beau mais envahit par les moustiques !
- Safari dans le parc de Yala. Départ 5hrs du matin, retour 12h00. Nous sommes ravis de notre excursion : magnifique levé de soleil, léopards/ crocodiles/ éléphants au rendez-vous, le tout en bord en mer !
- Notre guest house était en bordure d’une rizière : beau mais envahit par les moustiques !
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| Une plage de Mirissa |
On a aimé :
- Notre premier stop détente plage ! L’eau de l’océan indien est chaude, très salée et assez agitée.
- Le soleil tape fort, et le meilleur moyen de se rafraichir est de profiter des ‘young coconuts’ dont l’île regorge ! En plus ‘One coconut a day, keep the doctor away’. On aurait tort de s’en priver…
- Étonnant de voir toutes les paillotes le long de la plage en ‘Reggae Style’ ! Les Sri Lankais rasta on le monopole et Bob est partout ! Seul hic : la musique à fond sur la plage toute la journée. Nous étions venus chercher du calme. Ça ne sera pas pour cette fois.
- Petit hôtel en bord de mer sympa : vous êtes réveillé par les vagues et allez piquer une tête au réveil. Seul hic du lieu (en plus de la musique tard dans la nuit) : les moustiques ! Une invasion à nouveau ! Coriaces en plus ! ça nous a permis de découvrir le meilleur anti-moustique au monde: Estelle ! Laurent : 0 piqûre; Estelle: on ne compte plus malgré toutes les précautions prises…
- La rencontre avec une famille québécoise qui a fait le choix de faire eux-mêmes la scolarité de leurs enfants pour pouvoir s’évader régulièrement pour de longues échappées.
- La rencontre d’un charmant couple rouennais féru de voyages. D’ailleurs au passage nous vous saluons ! on imagine que vous êtes en train de nous lire.
- Petit pépin de santé : Seule fois du séjour ou nous dérogeons à notre règle de végétariens, Laurent avale une belle arrête qui reste coincée dans la gorge. Aïe. Douloureux. Au final, en persistant un peu, Estelle a réussi à la voir et à l’extraire avec une pince à épiler. Fin des 2 jours de bagne pour Laurent.
On a aimé :
- De loin la plus conviviale guest house. Pour le
coup, nous avons vraiment partagé de bons moments avec une famille Sri Lankaise. Si vous passez par là, arrêtez-vous à la ‘White House’. Accueil chaleureux garanti !
- Cours de cuisine Sri Lankais dispensé par cette famille. 3 heures passées en compagnie de la patronne (~75 ans et d’une forme olympique) et de sa fille. Ici c’est 0 électricité et gaz. Tout se fait au feu de bois et au pilon. Le cours de cuisine devient un vrai cours de musculation dans ces conditions. C’est bien loin de notre confort. Tout est fait maison : L’huile de coco, les épices, le curry… Notre patronne est une grande prêtresse de la cuisine !
Le plus dur : La côte a été ravagée par le tsunami de 2004. Sur le trajet Mirissa-Unawatuna, la route était jonchée de pierres tombales en commémoration des disparus (+de 30 000 personnes). Bien que les autorités aient interdit de reconstruire sur le littoral, tout se reconstruit au milieu des détritus du passés.
Galle : Promenade dans cette sympathique forteresse portugaise.
Peiti coup de coeur pour l’hotel Amangalla (rapide visite uniquemet) ! Une splendeur de l’héritage colonial. On a l’impression de s’inviter dans une revue ‘côté Ouest’.
Album dispo sur google+ (cliquer ici)
Peiti coup de coeur pour l’hotel Amangalla (rapide visite uniquemet) ! Une splendeur de l’héritage colonial. On a l’impression de s’inviter dans une revue ‘côté Ouest’.
Album dispo sur google+ (cliquer ici)
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